Une souris dans MA maison

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Je peux tolérer certains parasites… d’autres non.

Récemment et pour la première fois, j’ai trouvé des crottes de souris (de la taille d’un grain de riz, noires et en forme de fuseau) sous l’évier de la cuisine de ma maison. Et là où il y a des crottes, il y a de fortes chances qu’il y ait des souris.

Une souris, me suis-je dit, je peux endurer! Mais en réalité, je déteste ça ! Dans les zones urbaines, les souris domestiques peuvent se reproduire tout au long de l’année, produisant 5 à 10 portées d’environ 5 à 8 petits chacune (une souris peut donc produire jusqu’à 80 petits par an). La durée de vie moyenne est d’environ 12 mois. (1)

Je me suis résignée au fait que j’étais dans une vraie bataille.

Par chance (si on peut appeler ça de la chance dans cette situation), ce n’était pas ma première rencontre avec des souris. Sur notre lieu de travail, nous recevons généralement ces petits visiteurs à fourrure une à deux fois par an. Ils se faufilent par les portes de l’entrepôt arrière et se retirent dans le bureau avant, confortable et chaleureux, pour leurs vacances semestrielles.

Cependant, en ce qui concerne notre résidence principale, c’était la première fois que je rencontrais une souris dans MA maison ! Nous vivions là depuis de nombreuses années sans incident, pourquoi maintenant?

Une chose que vous devez savoir sur les souris avant de poursuivre mon histoire est qu’elles sont capables de se déplacer dans des espaces extrêmement étroits et restreints – imaginez leur corps comme ces cadres pentagonaux flexibles et compressibles que les enfants construisent avec des pailles. Ils vivent joyeusement dans les cavités des murs, dans les toits et sous les planchers, et pénètrent dans la maison par de petits trous et espaces. Ils touchent et sentent pour négocier leur déplacement. Regardez cette vidéo si vous ne me croyez pas!

Quoi qu’il en soit, voici ma théorie de la souris en ce qui concerne ma maison familiale : J’ai deux grands jeunes hommes, voracement affamés, excessivement désordonnés et de nature parasitaire. Ils ont envahi la maison, surtout le sous-sol. En fait, je mets un point d’honneur à descendre rarement dans la « caverne d’homme » et c’est là que réside le problème!

Les rares fois où j’ose entrer, c’est toujours parce que j’ai atteint mon seuil de tolérance. Oui, il devrait y avoir un niveau de tolérance LAI (Lutte antiparasitaire intégrée) pour les jeunes hommes également. J’en arrive à un point où je ne supporte plus de passer devant les piles de vêtements, les chaussettes sales, les équipements de sport qui sentent mauvais, les monticules de vaisselle plus ou moins incrustée, les miettes de chips qui jonchent le tapis et les coutures des coussins du divan… Dois-je poursuivre?

La caverne d’homme, lorsqu’elle est laissée dans cet état de désordre, est tout simplement l’environnement parfait pour une souris.

Maintenant, essayer d’amener mes garçons à utiliser les poubelles que j’ai stratégiquement placées dans le sous-sol ou à jeter leurs vêtements sales dans le panier à linge est aussi facile à faire que de contrôler une infestation d’insectes ou de parasites. Les deux exigent une vigilance constante.

Et malheureusement, aussi mignonne que puisse paraître une petite souris (mes garçons aussi ont l’air mignons et innocents !), elle ne peut apporter que des ennuis. Les souris peuvent transmettre plusieurs maladies et bactéries telles que la salmonelle, ainsi que des virus et des parasites comme les puces. Ils aiment ronger et se frayer un chemin à travers des objets comme les fils électriques ou votre paire de chaussures préférée. En agissant dès les premiers signes de présence d’une souris, vous éviterez qu’un petit problème ne se transforme en infestation.

Alors, comment avons-nous abordé notre problème de souris?

Nous avons installé le piège à souris Original Knock Down; sous l’évier de notre cuisine et l’avons appâté avec du fromage (le beurre d’arachides fonctionne très bien aussi) et le matin même, nous avions attrapé la première souris. Ce piège a en fait tué la souris. (Je laisse le nettoyage à mon mari !)

Vous pouvez aussi utiliser le Piège en tunnel Knock Down qui est un piège à capture vivante.

Après notre première prise réussie, nous avons utilisé le piège à tunnel – quelle occasion parfaite (bien que non souhaitée) de tester nos différents produits ! Nous l’avons appâté avec du fromage (suisse, avec des trous bien sûr) et le lendemain matin, nous avions attrapé une autre souris !

Depuis la capture de la deuxième souris, nous avons fini par attraper, incroyablement, 15 souris ! Pour renforcer nos efforts, nous avons fermé de multiples moyens d’entrée pour les parasites, comme sous l’évier et la découpe autour de la tuyauterie de l’évier. Il s’agissait d’une étape cruciale dans l’éradication du problème.

Plusieurs mois de piégeage et de capture plus tard, je peux dire que nous sommes maintenant sans souris !

Pas de souris dans MA maison…merci!

Vous trouverez d’autres pièges à insectes et à vermine Knock Down ici.

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